Le problème, quand on teste un jeu de cette envergure issu d’une série à plus de dix entrées, c’est que l’affect personnel et la nostalgie jouent nécessairement un rôle primordial. Force est de constater que la licence n’offre plus la même proposition qu’il y a quelques années. Aux allures rêches, peu accueillantes et flamboyantes du passé se sont substituées une accessibilité à toute épreuve, une recherche évidente de la simplicité et une ouverture assumée auprès des néophytes. Si les bases addictives...
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