Il existe des mots que l'on n'ose pas trop employer : par leur nature galvaudée, l’essence même de leur signification semble avoir perdu de leur substance au fil des années. “Chef-d’œuvre” en fait partie. Et pourtant, nous avons bien envie de déroger à la règle pour Clair Obscur : Expedition 33. Nous tenons là une leçon de maîtrise scénaristique, de vision artistique et de complexité de gameplay rarement atteinte dans un jeu du genre. Les quelques petits défauts techniques (potentiellement corrigés...
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